Marie trouve que la Nouvelle-Zélande a la même forme que la botte de l’Italie mais coupée en deux. Le pays est composé de deux îles, celle du sud et celle du nord. On commence par l’île du sud.
On était très contente d’arriver en Nouvelle-Zélande car ça nous changeait de l’Australie où on était resté très longtemps mais ça nous n’a pas fait un grand choc comme quand on est arrivé en Inde ! Il fait plus froid et il pleut plus souvent mais ça fait du bien.
On est arrivé en pleine nuit alors on est allé à l’hôtel. La chambre était géniale car elle était immense avec 4 lits enfants et 1 énorme lit pour les parents.
C’est là que l’on a vu notre première femme Maori qui travaillait dans le restaurant. Les Maoris sont les premiers habitants de Nouvelle-Zélande, un peu comme les aborigènes en Australie. Ils sont blancs comme nous mais avec les yeux bridés mais moins que les chinois.
Quand ils font des danses traditionnelles et ils mettent des jupes en paille et ils font des mouvements avec un bâton. Les hommes ont les cheveux longs avec un chignon et des colliers de coquillage. Pour impressionner leurs adversaires, ils se peignent le visage avec des traits de peinture noire (ou font des tatouages), tirent la langue et exorbitent leurs yeux. Ensuite, ils crient en se battant la poitrine. Pour se dire bonjour, ils se mettent front contre front et se touchent leurs nez. Ça, c’est la tradition, dans la rue maintenant ils s’habillent normalement. On n’en voit pas beaucoup et ils sont mieux acceptés que les aborigènes en Australie. Ils ont aussi été colonisés par les Anglais.
On a loué un camping-car. Il est très gros et pas beau du tout. C’est un « Pacific Horizon ». Margot n’aime pas car maintenant on est comme tout le monde. Il est très confortable et en plus, il y a 3 sièges à l’avant alors on se dispute toujours pour y aller.
LES BALEINES DE KAIKOURA :
Dès le lendemain de notre arrivée, on est allé voir les baleines plonger. On a pris un gros bateau. Margot n’avait pas très envie d’y aller car elle préférait aller plonger avec les dauphins mais il faisait trop froid. On a vu 3 baleines qui plongeaient, leur queue est énorme et c’est très impressionnant. On n’avait jamais vu ça avant. En rentrant, on a vu aussi des dauphins et c’est le moment que l’on a préféré. Marie avait très mal au cœur pendant toute la balade.
LE PARC NATIONAL D’ABEL TASMAN :
Ensuite, on est allé au Abel Tasman National Park rejoindre Ingrid et Bernd nos amis allemands qu’on avait rencontrés en Australie. On était fou de joie de les revoir car on les aime beaucoup. On a fait du kayak de mer avec eux pendant que papa gardait Eve. Margot et Bernd étaient ensemble dans un kayak, Marie et Ingrid dans un autre et maman était toute seule dans un kayak simple. Il y avait pas mal de vent et des vagues. Marie ne pagayait pas et mettait les pieds sur le kayak en disant « Relax, Ingrid, relax ! ».
Au retour, c’était marée basse et on n’a pas pu repasser par le même endroit entre deux îles. Il y avait beaucoup de courant et on n’arrivait pas non plus à faire le tour de l’île alors on a dû porter nos kayaks sur les rochers et il y avait plein de coquillages qui coupaient les pieds et on avait très froid.
On a fait 3 jours de balades. On marchait 5 heures par jour. Les deux premières balades étaient fatigantes mais la dernière était très bien. C’était toujours un peu le même paysage. On a ramassé des moules énormes, noires et vert fluo sur le bord. On les a cuisinées pour Ingrid et Bernd qui n’en avait jamais mangé. Elles n’étaient pas très bonnes, avec des crabes dedans et ça ressemblait à du caoutchouc.
À côté du camping, il y avait un parc pour les enfants avec une énorme tyrolienne (le flying fox). On a beaucoup joué avec Ingrid. C’était très drôle.
Ensuite, on s’est quitté. On était triste mais heureusement, on va se revoir en Amérique du sud.
LES OTARIES DE CAP FOULWIND :
Comme d’habitude, Margot ne voulait pas faire la balade car maintenant, elle les trouve toutes trop longues mais finalement ça nous a plu. On a marché le long de la falaise et on a vu des chevaux. On a vu les otaries depuis un petit observatoire. C’était la première fois qu’on en voyait. Au début, on n’arrivait pas à les voir car elles étaient allongées au milieu de troncs d’arbres morts de la même couleur qu’elles. Marie trouve les parents plutôt moches car ils sont gros et gras de partout mais les bébés sont mignons. Les gens disent qu’elles puent mais nous, on n’a rien senti.
Il y avait aussi un panneau qui indiquait toutes les directions dans le monde et on a réalisé qu’on était à 16 000 km de la France. C’est très loin mais on n’arrive pas bien à se rendre compte de la distance. Quand on regarde la mer, en face de nous il n’y a rien, seulement le pôle sud.
LES GLACIERS :
On en a vu deux, le Franz Joseph Glacier et le Fox glacier. On a préféré le premier car on a marché dans le lit de la rivière et il y avait plein de gros morceaux de glace qui s’étaient détachés du glacier. On s’amusait à les porter dans les mains. C’était gelé. On a aussi préféré car le glacier était bien au milieu de deux montagnes très serrées, c’était beau. On début, on n’a pas compris que c’était un glacier car la base était très sale et pleine de terre mais en s’approchant, la glace était toute bleue. Il ne fallait pas trop s’approcher car des gros blocs de glace pouvaient tomber sur nous. Il y a des milliers d’années le glacier était beaucoup plus avancé. La glace se forme en haut de la montagne par compression de la neige qui tombe. 1m d’épaisseur de glace se forme en 5 ans. Pour que le lit de la rivière se transforme en forêt, il faut 150 ans.
Le deuxième glacier était beaucoup plus grand et plus large et on a pu plus s’approcher.
Margot aurait bien aimé aller l’escalader mais il fallait un guide et on ne pouvait pas faire une longue balade avec Eve. On en fera en France plus tard.
REFLECTION LAKE :
C’est un lac au pied des glaciers où ils se réfléchissent. La balade était belle tout autour du lac. On a fait des beaux croquis. Le reflet était très beau sauf quand les canards venaient faire des vaguelettes. On a dormi sur le parking sans le chauffage mais avec plein de couvertures. Le matin, il gelait presque à l’intérieur et maman est allée faire une photo des montagnes au lever du soleil.
LES GIRARD :
On a retrouvé nos copains français qu’on avait déjà vus en Australie dans un camping. On a cru qu’ils n’arriveraient jamais car on a attendu jusqu’à la nuit leur arrivée. On était super contente de les revoir. Ils ont loué un gros camping-car 6 places comme nous.
On a fêté l’anniversaire des jumeaux Cylia et Mathieu qui ont eu 13 ans. On a offert une peluche kiwi à Cylia et un jeu de Uno à Mathieu. Nathalie, la maman, nous avait organisé une super chasse au trésor et le cadeau c’était des bonbons. On s’est amusé à exploser des ballons plein d’eau sur les fenêtres du camping-car, ce qui a fait peur à maman. On a fait des ricochets sur le lac et des radeaux en bois flotté. On était vraiment content de tous se revoir. Jean-Luc avait fait des gâteaux. On n’est resté qu’une nuit et qu’un jour ensemble car ils partaient dans le sens inverse de nous mais on va se revoir en Amérique du sud.
LE BUNGY JUMP :
On est allé à côté de Queenstown voir le saut à l’élastique depuis un vieux pont en fer. Maman et papa ne voulaient pas sauter car ils avaient trop peur mais nous on avait très envie.
La pauvre Marie était très déçue de ne pas pouvoir le faire car il fallait avoir 10 ans minimum et faire 35 kg mais elle était très excitée pour Margot.
Margot s’était pesée la veille et faisait 35,1 kg mais le lendemain, elle ne pesait plus que 34,4 kg et les organisateurs ne voulaient plus qu’elle le fasse. J’étais très déçue alors je suis retournée au camping-car et j’ai mis plein de pulls et j’ai mangé des bananes et des gâteaux. Ouf, c’était bon !
Pour sauté, les organisateurs m’ont attaché aux chevilles un énorme élastique avec des serviettes éponge pour ne pas me faire mal. Au début, je pensais que ça allait être facile de sauter mais quand je me suis approché du bord et que j’ai vu le vide, j’ai eu peur et je me suis mise à pleurer. Une gentille dame de l’équipe qui s’appelait Helen a bien voulu venir sauter avec moi. Je me suis collée à elle et j’ai fermé les yeux. On a sauté et ensuite c’était bien de rebondir la tête en bas. Je l’ai lâché. C’est dommage car ça passe trop vite.
Ensuite, il y a un radeau qui est venu nous cherché et on s’est allongé dedans.
La prochaine fois, on recommencera en France Marie et moi ensemble.
LE FJORD DE MILFORD SOUND :
En allant aux fjords, il s’est mis a neigé et Margot était folle de joie. Je voulais faire du ski car il y a des stations de ski en Nouvelle-Zélande mais hélas il n’y avait pas encore assez de neige à cette période. On est en mai. Sur la route, on a eu la chance de voir un Kéa, un perroquet des neiges.
Les fjords sont des montagnes qui se jettent dans la mer et on peut circuler entre ces montagnes en bateau. On n’a pas beaucoup aimé car le paysage ne changeait pas beaucoup et en plus il ne faisait pas beau. On est tout le temps resté à l’intérieur et on a dessiné des Maoris. Le seul moment drôle a été quand on est sorti sur le pont, qu’on a enfilé des imperméables et que le capitaine a approché le bateau tout près de la cascade qui nous éclaboussait.
L’ANNIVERSAIRE DE MAMAN :
Marie a offert un collier à maman qu’elle a fait elle-même avec un beau coquillage, le paua, qu’elle a trouvé sur la plage et que papa a découpé. Elle a eu aussi un long pull en laine et en poil d’opossum (c’est un petit animal qui vient d’Australie, un peu plus gros qu’un écureuil qui vit dans la forêt et qui détruit tous les arbres. Il y en a 70 millions c’est-à-dire 20 par personne environ !) Elle a aussi eu des bottes rouges pour aller avec le pull.
Dans la journée, on est allé voir les albatros et le soir on a dîné au restaurant et papa et maman on mangé des cray-fish c’est comme des homards.
Quelques jours après, on est allé se balader sur les plages des Catlins et on a vu un lion de mer. C’est gros comme un veau. Papa était entrain de le filmer et on s’approchait de lui quand il s’est retourné et a commencé à nous courir après. On a eu très peur. Il court plus vite qu’un homme. Le lendemain, on en a vu deux autres qui faisaient semblant de se battre en se mordant au coup. On aurait dit qu’ils faisaient de la boxe, en vérité ils voulaient faire des bébés.
DUNEDIN : la Brasserie et le musée
On est allé visiter l’usine de chocolat Cadburry. On était très content car ça sentait bon. À l’entrée, il y avait des animations avec des marionnettes et une colline en fausses barres de chocolat. On a goûté des vraies fèves de chocolat grillées mais comme on avait oublié d’enlever la peau, c’était acide, amer et pas bon du tout. On a dû mettre des charlottes sur la tête. On s’imaginait que ça allait un peu être comme dans « Charlie et la chocolaterie » mais c’était moins bien. On a vu les machines fonctionner mais on n’a pas pu aller partout. La dame qui nous faisait la visite était très gentille et nous donnait plein de barres de chocolat. On a goûté les « Crunchy », ça ressemble à une éponge croustillante avec du beurre et du miel. C’était immangeable ! Les « Nana Banana » c’est encore pire. On avait envie de vomir. À la fin, la dame nous réservait une surprise, on était tout excitée, on s’imaginait des bons œufs mais en en fait, c’était un vomi de chocolat qui tombait dans une cuve et qui éclaboussait toutes les rambardes autour. DEGOUTANT.
Le lendemain, on a visité la brasserie Speight’s (c’est ou on fait de la bière). On n’a pas aimé l’odeur. On a préféré la fin quand on a fait une dégustation. Il passait toutes les pubs Speight’s à la télé et certaines étaient très drôle.
HAMNER SPRINGS :
Nous sommes allés dans des sources chaudes. L’eau provient directement de la terre car nous sommes dans une zone de volcans. Il y avait plein de piscines différentes avec des températures allant de 36 à 43 degrés. On a trouvé ça super bien. Dehors il faisait froid et il y avait plein de vapeur au dessus de l’eau. On a adoré les toboggans. Ils étaient très longs, avec des flèches à l’intérieur. On est resté des heures et quand on est sorti, on était crevé.
ILE DU NORD
On a pris un ferry pour aller dans l’île du nord. Il était moins bien que celui entre l’Italie et la Grèce. On a vu une baleine pendant la traversée.
LE TE PAPA MUSEUM
C’est le plus grand musée de Wellington qui est la capitale de la Nouvelle-Zélande.
On l’a adoré et on y est resté deux jours. Il y avait des « discovery center » c’est des espaces réservés pour les enfants avec plein de jeux, des livres d’histoire sur la Nouvelle-Zélande, des puzzles, des ordinateurs, une petite boutique pour jouer à la marchande, des déguisements de maoris et un énorme cœur de baleine en plastique, taille réelle. Les enfants pouvaient rentrer dedans mais Margot trouvait que ça puait trop à l’intérieur. Il y avait une super animatrice qui s’appelait Ana avec qui on a joué toute la journée.
On a aussi beaucoup aimé la ville car il y a beaucoup d’art dans la rue et plein de magasins.
LE PARC NATIONAL DE TONGARIRO
C’est un parc naturel avec des montagnes et des volcans qui est très connu car c’est là qu’a été tourné « Le seigneur des anneaux » mais on n’a pas encore vu le film car ça fait trop peur. Il y avait de la neige sur les montagnes. Papa voulait faire une photo de Golum (un personnage du film) tout nu devant le volcan du Mordor mais il faisait trop froid.
On est resté trois jours et on a fait plein de petites balades de 2 ou 3 heures. On a bien aimé la première mais après le paysage était toujours le même. Papa et maman voulaient faire une balade de deux jours sur le sommet du volcan mais on n’avait pas assez de sacs de couchage pour dormir dans les gîtes, il faisait trop froid et ce n’était pas facile avec Eve.
ROTORUA
La légende maorie explique pourquoi il y a beaucoup de volcans en Nouvelle-Zélande : au départ, il y avait la mère, la Terre et le père, le ciel. Ils ont eu trois enfants. L’aîné était jaloux que le papa et la maman soient collés ensemble et fassent des câlins alors il est entré dans une colère terrible et a commencé a poussé le ciel loin de la Terre en se transformant en montagnes. Les deux autres enfants étaient furieux contre l’aîné et se sont transformés en éclairs et en orages.
Une deuxième légende dit qu’il y a très longtemps, des gens sont venus en pirogue depuis les îles de Polynésie pour venir habiter en Nouvelle-Zélande. Mais comme ils étaient habitués à la chaleur quand ils sont arrivés dans les montagnes, ils ont eu très froid et allaient mourir dans une tempête de neige. Alors, ils ont appelé leurs dieux pour qu’ils viennent les aider. Ils ont envoyé deux déesses du feu qui ont transformé les montagnes en volcans avec de la lave et des sources d’eau chaude pour les réchauffer.
Mais en réalité, ça ne se passe pas comme ça. La terre est composée de plusieurs plaques qui, à certains endroits, frottent les unes contres les autres. C’est ce qui se passe sous la Nouvelle-Zélande. Deux plaques frottent l’une contre l’autre pendant des milliers d’années et la terre se transforme en lave bouillante ensuite ça remonte à la surface par pression et ça explose.
On est allé visiter un parc avec des geysers, des piscines d’eau chaudes et des piscines de boue. On a bien aimé mais ça puait beaucoup l’œuf pourri. Il y a même un monsieur qui a fait exploser un geyser devant nous. En fait, il met des morceaux de savon dans le trou du geyser et après un moment ça explose car le savon fait réaction chimique entre une couche d’eau chaude et une couche d’eau froide.
On trouve que les spas d’eau chaude ici sont moins bien que ceux de l’île du sud.
On a fait du Zorb. C’est une grosse boule qui roule du haut d’une colline avec nous dedans.
On en a fait toutes les deux en même temps. On n’était pas accroché et on tournait et on tournait tout ça dans l’eau… chaude heureusement ! Ca tourne doucement et on a l’impression d’être dans un toboggan géant.
Margot a préféré le Zorb au saut à l’élastique.
C’ETAIT GENIAAAAAAAAALLLLLL !!
Papa en a fait aussi mais habillé, sans eau mais accroché. Il a adoré aussi même s’il avait envie de vomir.
Dans un magasin le Coco Loco, on a rencontré des gens très gentils, franco-allemands avec 3 enfants qui nous ont invités à dîner. Margot s’est fait couper les cheveux très courts pour la première fois. C’est un peu raté car la coiffeuse ne savait pas couper les cheveux mais ça s’améliore de jour en jour. Ça boucle comme un mouton.
On a visité pour la première fois une maison ronde, toute en bois qui tourne avec le soleil. Ça ressemblait à un œuf qui tourne sur son coquetier. On a bien aimé, on aimerait bien s’en faire construire une.
BAIE OF ISLANDS :
Puis, nous sommes allés dans la Baie of Island sur une plage où se jette une source chaude. Très tôt le matin à marée basse, on est allé creuser un grand trou dans le sable qui s’est rempli d’eau chaude. À certains endroits, c’était même brûlant. Il fallait toujours creuser pour que les digues ne s’effondrent pas. Il y avait de plus en plus de gens qui sont venus autour de nous. Tout le monde nous enviait notre grande piscine. On s’est fait une copine et on s’est baigné dans une petite rivière. Marie a trouvé que c’était moins bien que les hot springs parce qu’il fallait creuser.
LES KAORIS GEANTS :
Ensuite, nous sommes allés dans le nord ouest du pays et on a vu des kaoris géants. Pour les voir, on faisait une petite balade dans la forêt et soudain on en a vu un ENORME. Ça nous a fait sursauter, son tronc était monstrueux avec de grosses branches, pas beaucoup de feuilles et beaucoup d’autres plantes comme des buissons accrochés dessus. On a visité le musée du kaori et on a appris que maintenant les kaoris sont protégés mais que avant au début du 20ème siècle, on les coupaient pour faire des maisons, des meubles car le bois est très résistant et ne pourri pas. C’est très triste. Ils ont coupé des arbres de plus de 2000 ans.
Ils récoltaient aussi la sève des arbres pour faire de la colle, des laques ou des bijoux.
Il paraît qu’il y a des milliers d’années, tout le nord de l’île du nord de la Nouvelle-Zélande était recouvert de forêts de kaoris. On ne sait pas pourquoi elles ont disparu, peut être à cause d’un tremblement de terre ou d’un tsunami. On trouve encore plein de troncs et même parfois des arbres entiers avec leurs feuilles sous la boue dans les marais. Ils ont jusqu’à 40 000 ans !!! Il paraît que les forêts ont été recouvertes par la mer, il y aurait donc aussi des arbres dans l’océan.
Ensuite, nous sommes retournés à Auckland et on a rendu le camping-car. On va prendre l’avion pour le sud-est asiatique.
On a bien aimé toutes les activités en Nouvelle-Zélande, surtout le Zorb mais on a trouvé les paysages un peu lassants.
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